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MESSIEURS ÉYÉBÉ AYISSI & Cie, VOICI LA VRAIE LÉKIÉ. AU CAS OÙ VOUS N’Y AVIEZ JAMAIS ÉTÉ

La Lékié, mamelle nourricière de la capitale politique du Cameroun, curieusement oubliée par 50 années de cafouillage managérial, de violence et de paradoxe.

Par Fabien Assigana, un fils de la Lékié

PRÉSENTATION DU DÉPARTEMENT DE LA LÉKIÉ

ADMINISTRATION

Région : Centre

Préfecture : Monatélé

09 ARRONDISSEMENTS / COMMUNES

. Batchenga,

. Ebebda,

. Élig-Mfomo,

. Évodoula,

. Lobo,

. Monatélé,

. Obala,

. Okola,

. Sa’a

HISTOIRE

Le Département de la Lékié est la partie du pays d’où était originaire le tout premier dirigeant Camerounais. Monsieur André Marie Mbida avait été élu démocratiquement selon les règles y afférentes de cette période, mais fut victime d’une conspiration néocoloniale dont les germes pathogènes poursuivent notre pays jusqu’à ce jour.Au Cameroun, tous les autres nous appellent « MEKOUT M’ITON ». Je pense qu’enfin l’« EKOUT » va « KOUT TCHING ». Quelques exemples illustratifs de ce théorème et qui parlent d’eux même :

Alors même que les ÉTON sont unanimement reconnus comme étant parmi les plus travailleurs, les plus dynamiques du pays dans presque tous les domaines, nous sommes toujours muselés. Pourquoi sommes-nous si redoutés, et à qui faisons-nous peur ?

Les fous ÉTON ont toujours été systématiquement utilisés en période de crise pour faire le sale boulot, et dès qu’ils ont terminé, ils sont impitoyablement remplacés : cas MEVA’A M’EBOUTOU- ANTOINE NTSIMI - AKAME NFOUNOU lors de la dévaluation du francs CFA.Autre exemple : le blocage du pont d’Ébebda pendant les années de braise et autres villes mortes.

Malgré ces sacrifices, aucun projet structurant n’a jamais été réalisé dans la Lékié. À titre d’exemple, l’Hôpital Gynéco obstétrique et pédiatrique prévu à Monatélé qui avait été promis à la Lékié a été curieusement délocalisé à Yaoundé pour devenir l’Hôpital Gynéco obstétrique de Yaoundé ; et ceci par les soins même d’un fils de la Lékié (Urbain Olanguena Awono), contraint une fois de plus à venir tuer de sa propre main le rêve du Département. Vous savez le sort qui lui a été pour ces « bons et loyaux services ».

DÉMOGRAPHIE

Population : 500 000

Habitants - Densité : 167 habitants/km²

Superficie : 2 989 km²

Il est peuplé par les Éton ou ÌTÓN et les Manguissa ou MEuNGISSA. Ces deux peuples sont principalement agricoles et produisent 60 à 70 % des vivres vendus sur le marché de la capitale Yaoundé. Ceci avantagé par sa proximité à la capitale. Les deux ethnies comptent plus de 500 000 habitants dont plus du cinquième de la population de la province du centre. Bernard Delpech parle de 250 000 habitants en 1985 dans le département, Étant donné le taux de croissance de la population camerounaise qui est de l'ordre de 2,1 % []- 2,6 %, et d'après le chiffre avancé par Bernard Delpech, le nombre d'Eton et de Manguissa a probablement dépassé les 500 000 âmes en 2012.Notons par ailleurs que d'après l'annuaire statistique du Cameroun, la population Éton se chiffrait, à environ 400 000 âmes, réparties dans le département en 2004. En y appliquant le taux de croissance de la population camerounaise, on trouve un résultat similaire à la projection précédente obtenue à partir des données de Bernard Delpech.

ÉCONOMIE

Limitrophe des départements du Mbam, la Lékié est le deuxième grand producteur de cacao au Cameroun. Hier premier producteur, elle s’est vue ravir cette place par les départements du grand Mbam ; à cause de l’exode de sa jeunesse victime d’une loi foncière discriminatoire, laquelle a trouvé refuge dans cette autre partie du territoire national voisine. Allez donc comprendre qui fait du grand MBAM premier producteurs du cacao.

Les cultures dites de rente qui sont par ailleurs détenues par une populations vieillissantes au même titre que leurs exploitations, devenant de moins en moins rentables, les agriculteurs de la Lékié jeunes pour la plupart, s’activent plus à la production des cultures maraîchères et vivrières, porteuses de plus de revenus et les seules à même de remplir l’exigence de soumission à occupation temporelle des terres à laquelle la loi ci-dessus dénoncée les astreint, sous peine d’être traité de vouloir faire violence aux señores…

L’état d’enclavement généralisé malgré la proximité avec la capitale politique (le village le plus lointain est à moins de 100 km de Yaoundé), ne permet pas à cette jeunesse de vivre avec les fruits de ce dur labeur.

L’exploitation minière qui s’y fait à la fois par une élite administrative boulimique et une multinationale néocoloniale, notamment à travers le sable et le gravier qui permettent de construire toutes les infrastructures de la capitale et ses environs ne laisse aucune chance de développement aux populations, même pas un plan d’entretien des pistes à travers lesquelles ces ressources sont évacuées. L’immense potentiel éco-touristique demeure inexploité, au même titre que le potentiel infra-structurel et communicationnel de la Sanaga n’est même pas mis en étude préparatoire pour sa mise en valeur.

LA CARTE SANITAIRE

Les valeureuses populations de la LEKIE sont abandonnées à elle-même depuis la nuit des temps par un phénomène pourtant très simple à éradiquer, et lequel décime des générations entière des tributs riveraine du fleuve Sanaga. Il s’agit des fameux « mout moûts » qui ont fait de Monatélé et ses environs la zone de prédilection endémique, sans qu’aucun des gouvernements successifs au Cameroun, ne daigne s’y pencher alors qu’une simple demande formulée auprès de l’OMS aurait suffi pour y remédier.

La construction de l’Hôpital Gynéco obstétrique et pédiatrique de Yaoundé avait été programmé pour être construit à Monatélé, en remplacement de l’Hôpital Général de Yaoundé qui lui aussi avait été détourné de sa destination initiale.

Malheureusement une fois encore ni l’un ni l’autre ne vit le jour sur les berges du fleuve Sanaga ; malgré des expropriations sans indemnisations qui avaient déjà eu lieu. La référence hospitalière ici est le District de santé sans personnel qualifié ; n’en parlons pas de plateau technique…

LA CARTE ROUTIÈRE

La Lékié n’a jamais bénéficié d’aucune infrastructure viable. N’eut été l’axe lourd Yaoundé Bafoussam traversant par accident notre département, la Lékié n’allait jamais voir chez elle une route digne de ce nom. Et après cet cette transversale, plus rien. La carte routière qui n’était basée que les pistes cacaoyères, n’est restée que cela malgré la proximité de la Lékié avec Yaoundé. KOKODO II par exemple a reçu un engin de travaux routiers en 1963 pour la toute première et la toute dernière fois pour fin de reprofilage

LA CARTE SCOLAIRE

Celle-ci est parmi les dernières au pays. En 2013, les petits camerounais dans la plupart des localités du Département de la Lékié sont obligés de parcourir cinq à dix kilomètres en « allez-simple » pour atteindre leur école. Et lorsque par démagogie politico propagandiste, une école était créée sur du papier, non seulement elle prend le nom du parent d’un des hauts dignitaires du régime (cas du fameux Lycée Mixte de NLONG-ONAMBÉLÉ par SA’A, détourné à EKEKOM pour être rebaptisé non pas Lycée d’EKEKOM, mais honteusement Lycée ESSOMBA Auguste du nom du père de qui on sait dans le coin). Ce Lycée se retrouve très souvent sans salle de classe, ni enseignants qualifiés, et aux parents de se débrouiller. Allez donc savoir pour quels résultats en fin d’année !!!

ÉDUCATION

L’éducation a toujours été négligée depuis l’indépendance dans cette partie du Cameroun. Le régime actuel a certes, créé quelques Lycées sur le papier, et leur existence s’est matérialisée aux conditions telles que brièvement décrites plus haut. Mais leur fonctionnement a pour identité remarquable les effectifs pléthoriques, la promiscuité et le niveau de vie bas des enseignants pour ne citer que ces quelques clichés. Ce qui n’est pas de nature à contribuer en aucune manière à l’épanouissement intellectuel de notre jeunesse.

De plus, la LÉkiÉ étant réputé un Département d’agriculteurs par excellence, il n’existe aucune école spécialisée dans le domaine.

L’élite d’imposteurs n’a même pas cru bon de créer une espèce de structure de saupoudrage pour faire semblant de soutenir les jeunes scolaires ou même le système d’enseignement, à l’instar de ce qui se fait dans la ville de DSCHANG à L’Ouest du pays, (cf. émission sur Africa 24) malgré le constat clair d’un abandon des pouvoirs publics…

JEUNESSE

La LÉkiÉ comme les autres Département du Cameroun n’a aucune politique pour la jeunesse. Il n’existe absolument aucune structure qui puisse employer cette jeunesse. Il y règne un état de chômage endémique. Il y a zéro structure industrielle capable de résorber le chômage. Le secteur informel tels que les benskins, les petites commerçants est constamment harcelé par les autorités.

Aucun projet structurant n’est prévu ici ; que ce soit à moyen ou à très long terme ; malgré une fois encore le potentiel agricole, hydraulique et touristique…

Sa situation stratégique au carrefour des Régions du Littorale, du grand Ouest et du Nord qui aurait été un atout économique en terme de coût et de vision prospective d’ensemble, si un jour l’Etat pensait relier toutes les régions du pays par une autoroute n’a même pas été pris en compte par les décideurs de l’itinéraire de l’autoroute Yaoundé- Douala, qui desservirai l’Ouest à court terme.

AGRICULTURE

La force reconnue de la LÉkiÉ à savoir le travail en général et celui de la terre en particulier, dans le domaine agricole global, n’a jamais reçu aucun soutien véritable des entités étatiques. Il n y a aucun financement. Les quelques rares qui obtiennent les soi-disant aides de l’État sont astreints à des compromissions de tous ordres ; dans le favoritisme et la corruption, des rétro commissions etc.

Il n’existe aucune usine de transformation des produits agricoles dans ce grand département. Les quelques projets qui avaient été envisagés ici furent tous sabotés ou abandonnés : cas de l’aéroport de MINKAMA (Obala) qui est allé à NSIMALEN, l’usine des champignons, de chocolaterie mis aux oubliettes…

ANIMATION CULTURELLE ET SPORTIVE

Il n’existe aucun centre d’animation des jeunes nulle part, encore moins une infrastructure sportive. Que ce soit TARZAN d’OBALA ou ECLAIR de SA’A, aucune de ces équipes n’a bénéficié de quelque soutien que ce soit de la part de cette élites moribonde.

La plus grande élite de l’arrondissement de Sa’a n’a même pas pu prendre en main l’équipe même de son village natal : « VIPÈRE DE N’LONG-ONAMBÉLÉ ». La culture et le sport dans la LÉkiÉ sont à l’image même du MINCULT, du MINSEP et du MINJEC, à savoir amorphe et lamentable.

CONDITION FÉMININE

La femme dynamique de la LÉkiÉ est considérée tout simplement comme la bayam-sellam qui permet aux différents marchés de la capitale d’avoir les vivres en quantité suffisantes pour nourrir les 3 trois millions d’âmes qui y vivent. Elles servent aussi à l’occasion d’être entrainée dans les grands centres de la Lékié sous la forme de groupe de danses pour animer les meetings des soi-disant élites et puis abandonnées à elles-mêmes pour rentrer chez par leur propres moyens. Cela rappelle, les chiens de Kokumbo : « Ces chiens ….. ne servaient qu’à la chasse, et dès qu’ils avaient chassé, on ne s’occupait plus d’eux. Et ils se nourrissaient des rats morts, des poulets à moitié dévorés par les renards, des détritus de bêtes, enfin de tout ce qui abonde aux abords du village ».

INVESTISSEMENT DE L’ÉTAT

L’État, encore moins l’autorité locale ne peuvent présenter un seul investissement dans le Département de la Lékié. Ce Département souffre aussi du syndrome du pays organisateur par assimilation. La Lékié, un Département aussi dynamique, ne peut pas être à deux pas du centre des décisions sans qu’il n’y ait jamais eu un seul investissement depuis l’indépendance jusqu’à nos jours malgré sa situation géostratégique et son tempérament pacifiste et respectueux des pouvoirs successifs à Yaoundé.

INFRASTRUCTURE

« L’axe lourd » Yaoundé/Bafoussam/Bamenda a malencontreusement dû traverser la LÉkiÉ. C’est pour cette raison, « grâce à Dieu » qu’une petite partie de ce Département a pu connaitre ce que nous appelons goudron. Il semblerait aussi que la route en construction allant à Nanga Éboko pour désenclaver le village présidentiel par alliance, traverse aussi malencontreusement Obala et Batchenga. Tant mieux pour nous.À part cela, la LÉkiÉ n’a aucune infrastructure routière et les bayam-sellam réalisent un parcours du combattant pour venir nourrir Yaoundé, Douala et les pays voisins. Le Seul Département du pays qui n’est pas relié à la capitale par une route bitumée.

POLITIQUE FONCIÈRE

Les problèmes fonciers ont toujours exacerbé la vie villageoise, mais l’État n’a jamais mis en place une politique foncière qui pourrait aider les agriculteurs et la famille villageoise à avoir des droits reconnus. Nous avons également évoqué plus haut les conséquences de cet état des choses sur la jeunesse, obligée à l’exode villageois pour faire les prouesses agricoles du Grand MBAM…

INDUSTRIALISATION

Si vous connaissez un quelconque projet industriel dans la Lékié, faites-nous le savoir.

L’EAU ET L’ÉNERGIE : UN POTENTIEL SCANDALEUX

Quelques puits par ci, par là. Le Courent électrique basse tension monophasée à coupure intempestive pouvant durer des semaines, voire même des mois. Voilà la situation de l’eau et de l’énergie dans la Lékié, alors qu’il est possible de développer des mini barrages dans presque tous les cours d’eau du département.

La rivière LEKIE qui a donné son nom au Département est constituée sur près de trois kilomètres es chutes et des rapides aux potentiel touristique, hydraulique et aquacole à nul autre pareil en république du Cameroun ; au lieudit POUPOUMA ; du nom d’un groupement enclavé et perdu dans la forêt vierge, bien qu’à un jet de pierre du chef-lieu départemental. La Sanaga ne fait pas exception sur sa branche qui traverse le Département. Son potentiel permet même d’envisager le développement des sports nautiques et l’aménagement d’un aéroport hydraule. Vous pouvez donc imaginer comment font ces agriculteurs pour arroser leurs champs.

VOICI CE QUI DOIT SE PASSER

De prime abord, les élites de la Lékié doivent créer un fonds d’au moins cinquante millions (50 000 000) de francs CFA pour le financement des micro-finances. Le fonds ainsi consolidé servira à constituer une micro-finance spécialisée dans l’achat des intrants agricoles, du petit matériel de modernisation des techniques de culture et d’irrigation des champs. Ce fonds qui pourra augmenter son capital grâce aux aides extérieures servira à financer des micro-projets pour la jeunesse de la Lékié. Il sera également question d’octroyer de petits financements aux Bayam-sellam afin qu’elles puissent augmenter leur capacité d’achat des produits, la création des magasins de stockages des vivres et le développement des techniques de conservation ou de transformation des produits...

Également, les élites doivent se battre pour faire revenir les investissements publics dans le département. Le budget d’investissement de l’exercice fiscal 2013 par exemple, représentant environ 28% du budget total et se chiffre à trois cent cinquante et un milliards (351 000 000 000) de francs CFA. Or la lekie, avec ses cinq cent mille (500.000) habitants selon le dernier recensement, représenterait 2.5% de la population camerounaise.

Il est donc normal que 2.5% de ce budget à savoir près de neuf milliards (9 000 000 000) soit affecté à l’investissement spécifique de la Lékié au bas mot. Ainsi cette somme pourra financer l’éducation, la santé, l’agriculture, la famille, l’eau, l’énergie, la création d’emploi etc.; selon les priorités que les populations auraient défini sur une programmation des objectifs recherchés pour le développement du Département.De plus, les élites de Lékié doivent user de leurs carnets d’adresses internationales pour aider les municipalités les Conseils municipaux à créer des jumelages avec des villes du monde entiers pouvant les aider dans leur développement et le financements de leurs projets.

LA PART DU TRAVAIL QUE LES DIFFÉRENTS CONSEILS MUNICIPAUX DE LA LÉKIÉ DOIVENT RÉALISER.

Les élites doivent créer un mouvement pour proposer, accompagner et pousser les différents Conseils municipaux à réaliser ce qui suit :

Informatisation totale des services de toutes les municipalités, grâce à l’activation d’un logiciel performant, pour une gestion transparente et moderne.

Création d’un jardin municipal comprenant :

° uncentre culturel et sportif dédié à la jeunesse et géré par ces derniers eux-mêmes, pour la création artistique et l’animation culturelle et sportive,

° uneconnexion par WIFI gratuite disponible sur l’ensemble des jardins municipaux, pour permettre à la jeunesse de la Lékié de se mouvoir avec tes TIC et par là même, aller à la conquête du Monde avec les arguments solides

Mettre un accent sur la création des richesses et donc de l’emploi des jeunes en mettant au moins 20% de leurs budgets respectifs pour la créativité des jeunes ; ceci par le mécanisme d’élaboration des budgets participatifs qui tiennent uniquement compte du potentiel globale des communes et des besoins de développement locaux formulés par les populations…

Création dans le cadre de la décentralisation et ce, grâce aux différents chapitres du budgets inexploités de l’État, un centre touristique composé d’un complexe artisanal, de blocs (styles motels), d’une exploitation d’étangs pour la pisciculture, d’espaces gastronomique du terroir et des spécialités camerounaises, d’une galerie marchande classée par spécialité...

  • Création d’une Zone Industrielle communale constituée outre des petites unités de transformation dans le domaine et métiers du bois, de la transformation des produits agricoles, les matériels de construction locaux, les centres de formations pratiques aux métiers liés aux ressources locales, ...
  • Avec l’aide du FEICOM ainsi que des fonds issus des différents programmes de transfert des compétences et des ressources aux communes, bitumage de la majeure partie des rues de la ville, leur baptême et la création des adresses, ainsi que le revêtement de toutes les pistes desservant tous les villages desdites commune en enrobé superficiel pour être praticable en toute saison. Dans le cas spécifique de la commune rurale de SA’A, il doit être exigé au Ministère des travaux public de pourvoir à l’entretien permanant du tronçon SA’A-/Pont de l’enfance qui se trouve être une route nationale.
  • Création et exploitation des mini barrages dans tout le potentiel existant dans le Département, puis procéder à l’électrification avec les panneaux solaires de tout l’éclairage des principales villes du Département ; devenant de ce fait producteur et distributeur de courant selon la loi régissant le secteur de l’électrification rurale. Cette énergie pourra éventuellement être revendue à qui voudra bien en acheter.
  • Construction des châteaux d’eau appartenant aux Municipalités pour alimenter en continu toute les villes de la Lékié, avec un système de fontaine exploitées aux fins agricoles en aval, selon un plan conçu à cet effet.

Ceci est un aperçu non exhaustif de quelques projets qui doivent être mis en chantier dans le Département de la LÉkiÉ

Qu’on soit partisan d’un parti politique ou pas, tous les fils de la Lékié qui pensent que notre dynamique Département mérite mieux doivent s’unir pour lancer son développement.

Vive le Département de la LÉkiÉ

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